samedi 31 décembre 2011

wellington

Comme nous devons reprendre l’avion à Auckland au Nord de l’ile du Nord, nous n’avons fait qu’une petite incursion dans l’ile du Sud. (On ne peut pas tout faire !)
Nous sommes revenus sur l'ile du Nord . Wellington est la capitale de la nouvelle Zelande, mais elle semble toute petite. Du centre- ville on voit des collines recouvertes d’arbres.

A quoi joue -t-ton en Nouvelle Zélande? Au rugby, évidemment, surtout depuis qu'ils sont champion du monde.
On est allé dans un musée. Le musée TE PAPA. Un beau musée retraçant l’histoire de la nouvelle Zélande. Toutes les explications, toutes les indications sont écrites en deux langues : l’anglais et le maori. (j’aurais préféré un peu de francais…) Les enfants étaient ravis. Aux quatre coins du musée, des pièces leur sont réservées (une dédiée aux maoris, l’autre aux iles du pacifique sud, une autre aux colères de la terre ; tremblements de terre, volcans et la dernière à la vie en NZ au siècle dernier) avec des déguisements, des puzzles, des dessins, des instruments de musique. On ne pouvait plus les faire sortir du musée. Et en plus c’est un musée gratuit !
Cyanne et Lois sur la carte de NZ. Lois se chauffe les mains sur un volcan

Abel Tasman National Park (au Nord de l’ile du Sud)

Une végétation luxuriante, des ballades dans la montagne

et pour ceux qui sont fatigués d’avoir trop marché, un banc pour faire de l’auto stop.
Mais aussi des plages. On arrivait quelques jours après de fortes pluies qui avaient déclenché des coulées de boue en provenance de la montagne. A certains endroits plus de 70 cm de boue , des routes barrées, des plages submergées de vase. Mais, lorsque nous sommes arrivés, nous avons pu bénéficier de trois magnifiques jours de soleil.

kaikoura




Arrivée à Kaikoura.(cote est, l’ile du Sud) Des paysages magnifiques. Des montagnes de plus de 2000 mètres et la mer.


Pique nique sur les rochers. On commençait à peine à déballer nos sandwichs quand on a vu émerger de l’eau à quelques mètres de nous et grimer sur les rochers, un phoque à fourrure. Il s’est installé aussi confortablement que possible et a commencé une grande sieste au soleil en se demandant pourquoi ces drôles de bipèdes dégainaient leur appareil photo. Des phoques on en a déjà vu, mais des « vrais » phoques (comme dit Cyanne) jamais. C’est toujours aussi impressionnant d’approcher la vie sauvage. D’autres phoques sont venus. On a grimpé sur la falaise, on en a vu nager entre les rochers.
CHERHEZ LE PHOQUE!!!e

jeudi 29 décembre 2011

Ile du sud/ KIA ORA (bienvenue en Maori)

Nous avons pris le ferry pour rejoindre l’ile du Sud. Il fait très beau. L’archipel avant d’arriver à Picton (sur l’ile du Sud) est magnifique. Les collines couvertes de sapins plongent dans la mer.

Ensuite trajet en voiture jusqu’à Kaikoura ( cote nord est de l’ile du sud). Le défi du jour, c’était le premier qui voyait un mouton. Le défi a été rapidement gagné par Lois. Il faut dire qu’il y en a partout, dans les prés, sur la route. Une plaisanterie australienne dit qu’il y a plus de moutons que de Néo- Zélandais.

On traverse des collines dépourvues d’arbres cette fois ci où paissent des troupeaux de vaches, de moutons évidemment, mais aussi de biches et de lamas. (sisi, on l’oublie le lama est originaire de Nouvelle zélande) Et puis au détour d’une colline, des vignes. La nouvelle Zélande produit également beaucoup de vin.

mercredi 28 décembre 2011

Noel en Nouvelle Zelande

Pour ceux qui s'inquiétaient, le père Noel nous a retrouvé au milieu de notre périple. On avait fabriqué un sapin de Noel maison avec trois balais et un peu de papier. On a eu la chance d'être parmi les premiers à découvrir nos cadeaux de Noel. Pendant que nous déballions les cadeaux, vous étiez au début de la veillée de Noel. Douze heures de décalage, on peut pas faire mieux.


La journée du 25 décembre  a été remplie par la découverte des cadeaux, pique nique sur la plage, baignade même si Cyanne trouvait l'océan un peu froid (20, 21 degrés)

, freesbee

 et canoë.
On est de retour à Sydney pour la fin de notre périple en Australie. Installés sur une terrasse de restaurant, on regarde passer les australiennes en « habits traditionnels » dixit Lois. Pour sortir, la tenue obligatoire est une robe plus ou moins courte et des talons de plusieurs centimètres.
Quelques rayons de soleil et les habitants de Sydney investissent les terrasses des cafés, 


vont dans les parcs pour pique niquer,

 pour jouer au criquet.

Bon on vous met LA photo de l’opéra, sinon, vous pourriez penser que l’on n’est pas allé en Australie.

On est arrivé en Australie, il pleuvait. On en repart, il pleut. Pourtant, c’est l’été ici. Il parait que c’est à cause d’El Nina (phénomène météo qui apporte la pluie pour faire simple). Au risque de paraitre misogyne, on aurait préféré être accompagné par El Nino en Australie. On a quand même profité de quelques jours de soleil .

Rencontre


La nuit est noire, ou plutôt non, la nuit est blanche. Un blanc laiteux, un blanc absorbant le paysage, la route et même la nuit.

A l'intérieur de l'habitacle, seule la petite lumière bleue et clignotante du GPS installé sur le téléphone du père sait où ils sont. Enfin, ils l'espèrent.

"Il dit qu'il faut tourner à droite.

- A droite? Mais, je ne vois pas de route! Ah si! La voilà.Tu es sure que c'est par là? On ne voit aucune maison!

- De toute façon, on ne voit rien! Sur le guide, ils mettent que c'est éloigné du village."

*******

Cela fait une demi-heure que je dors. Je dors d'un sommeil harassé. Ce n'est plus de mon âge, de sortir le soir... Et puis, j'ai trop mangé, même s'il faut avouer que le cheese cake de Mary était un vrai délice.... Et ce brouillard! J'ai presque failli louper l'entrée de ma maison!

********

La veille, leur livre de voyage leur avait indiqué deux lieux où ils pourraient poser leurs sacs à Bellingen

"Regarde, ce bed and breakfast a l'air sympa. C’est le Gracemere Grange. Il est à l’extérieur de la ville. Ils disent qu’il abrite des chambres douillettes à l’étage, aménagées sous le toit en pente, avec lucarnes pour admirer la canopée.

-Note l’adresse et le numéro de téléphone, on appellera demain. Note aussi le numéro du motel, s’il n’y avait pas de place dans le premier.



******



J’ai quand même eu un peu de mal à m’endormir. J’ai toujours un peu de mal à m’endormir quand ma maison est vide… Avant, il y avait Brice et les enfants. Mais l’un est parti trop tôt et trop loin et les autres ne remplissent que trop rarement la maison de leurs bruits.



******

A l’intérieur de la voiture, ils sont quatre : deux adultes, le père et la mère et deux enfants. Ils sont fatigués.

« Quand est-ce qu’on arrive ?

-        Je veux dormir dans mon  lit ! »

Ils sont partis tôt ce matin, très tôt. Ils ont roulé, roulé jusqu’à ce qu’au réveil des enfants. Petit déjeuner et baignade pour affronter une éternité de kilomètres ; 100 ; 200 ; 300…

Le sable était accueillant, l’océan agréable, le soleil enfin présent après une absence de plusieurs jours. Ils se sont baignés. Ils ont joué. Le temps a passé.

Ils ont téléphoné à nouveau au bed and Breakfast. Ils ont prévenu qu’ils arriveraient tard.

« Pas de problème ! On ne sera plus là, mais on laissera la porte d’entrée ouverte. Vous n’aurez qu’à entrer et vous installer dans la chambre 25. »



*******

Je n’ai jamais pu m’habituer à ce vide sonore, à cette solitude acoustique. Depuis trois ans, ma maison est devenue un bed and breakfast. Je l’ai appelée la Gracemere Grange.

J’aime accueillir les voyageurs pour une, deux ou trois nuits. Le soir, dans mon lit, j’écoute leurs bruits, je les écoute s’endormir. Certains se tournent et se retournent cherchant à attraper un sommeil qui se dérobe. D’autres toussent ou grincent des dents. Certains soupirent. J’en ai même entendu un qui riait aux éclats juste avant de sombrer.
Ces bruits m’apaisent, me bercent.


Mais aujourd’hui, aucun appel pour réserver un lit. Les chambres demeurent silencieuses.



*******

« Ca y est ! Regarde, c’est là ! C’est bizarre, tout est éteint !

-Je vais voir.

- …

- La porte n’est pas fermée, comme elle l’avait dit, mais elle n’avait pas parlé de deux chiens !

-Deux chiens ?

- Oui des lévriers. Ils ont l’air sympas, mais…

- Je veux pas entrer dans cette maison, maman, j’ai peur. Et si

les gens nous prenaient pour des voleurs et nous tiraient dessus.

-        N’ai pas peur. C’est ici, c’est la bonne adresse. Et puis, tu vois bien, ils ont laissé la porte ouverte comme ils l’avaient dit. Ils ont juste oublié de laisser la lumière allumer.

-        Bon, je vais voir si je trouve la chambre 25. Attendez-moi dans la voiture. »

Le père pénètre dans la maison. Les deux chiens assoupis sur le canapé ont à peine relevé la tête. A la lueur d’une lampe torche, il découvre la cuisine et une longue table prête à accueillir les bols du matin.

Un escalier. Il hésite. Mais les chambres sont à l’étage, peut-être la numéro 25. Il gravit les marches. Une, deux, trois portes.  Toutes sont ouvertes. Toutes donnent sur une chambre. Aucune ne porte  de numéro.



*******

Pas si silencieuse en fait. Ce son qui peine à me sortir de mon sommeil n’est pas celui de quelqu’un qui s’endort. Non, cela ressemble à un murmure. Le murmure des pas de Mike ou de Jordan, quand ils rentraient tard et ne voulaient pas nous réveiller, leur père et moi.

Mais mes deux fils sont à Sydney.




« Qu’est ce que vous faites là ?

-Heu, je vous prie de m’excuser, je suis bien au Gracemere Grange ?

-Oui.

- Je suis vraiment désolé de vous avoir réveillé. On est la famille française. On vous a téléphoné pour réserver une chambre.

-Je n’ai eu aucun appel aujourd’hui.

- Je ne comprends pas. Votre numéro de téléphone est bien le 02 6657 2016 ?

- Ah non ! Ce numéro est celui du motel du village.

*******

J’écoute leurs respirations. Le garçon a toussé deux fois. Le bruit des draps que l’on repousse mêlé à un soupir, puis plus rien. Rien que leurs quatre respirations qui s’emmêlent puis s’apaisent.

Ma maison a retrouvé un souffle. Je vais pouvoir m’endormir.

 ***********************************************************************************
Juste un petit texte sans prétention littéraire, qui relate une expérience que nous avons réellement vécue (Bon, j'ai un peu imaginé ce que la dame pensait)  juste pour vous montrer comment les Australiens que nous avons rencontrés sont accueillants, même quand on les réveille.


Sur la route.


Ca yest maintenant, on maitrise bien la conduite australienne. Sur la route, on rencontre
Des camions immenses avec deux remorques qui nous doublent à 110 kilomètres heures

Des hommes travaillant sur les routes avec de drôles de chapeaux
Et après les panneaux indiquant la présence de kangourous ou de koalas, un étrange panneau que l’on a retrouvé en ville ou au milieu de la forêt. On n’arrive pas à identifier l’animal indiqué, peut-être une tortue ?

mardi 27 décembre 2011

aborigène




Nous avions l’intention d’aller voir des centres culturels aborigènes. Certains proposaient des ateliers pour les enfants : lancer de boomerang, peinture à la manière aborigène, tissage, demonstration de dejereedoo (instrument de musique aborigène) etc.. Malheureusement, on n’a pas eu beaucoup de chance. Certains étaient absents à l’adresse indiquée, d’autres fermaient au moment où on arrivait (on vivait encore avec les horaires du Vietnam, ici, tous les musées, aquarium ou autre ferment à 16heures). Le dernier que l'on a visité, ne faisait aucune animation le jour où on passait car l’équipe d’animateur était encore en train de dormir: ils avaient fait  « a Christmas party » (une fête d’avant Noel) la veille. On a quand même pu assister à une sorte de visite guidée toute en anglais, expliquant les différents outils , la peinture et l’habitat aborigènes.

le pays des enfants

L’Australie est un pays paradis pour les enfants. Des jeux pour enfants dans tous les villages. Lois et Cyanne qui étaient un peu frustrés en Inde et au Vietnam, se régalent.

Après les temples indiens, après les pagodes vietnamiennes, les enfants ont trouvé un nouveau temple : « le macdonald pagoda » le temple de la fast food. Il y en a un voire plusieurs dans toutes les petites villes et ce n’est pas la seule marque de fast food.















Il y a quand même des restaurants qui se revendiquent slow food. Et sur le bord de mer, dans les aires de pique nique, des barbecues électriques sont installés. Les australiens arrivent avec leur viande, la font griller et la partagent entre amis ou en famille.

lundi 26 décembre 2011

Dorrigo


On quitte la côte pour entrer dans les terres. On se demandait pourquoi on avait donné le nom de Nouvelle Galles du Sud à cette partie de l’Australie. En voyant les paysages, on a compris pourquoi. On se serait cru en Angleterre.

On est allé se promener dans une « rain forest ». Cette forêt est du même type que celle qui était sur le premier continent avant qu’il ne se partage en plusieurs parties. Immense cathédrale végétale dans laquelle on se sent tout petit. De grands arbres s’élancent vers le ciel, des palmiers fougères et des oiseaux par centaines que l’on ne voit pas toujours mais que l’on entend. Et là, on est à mille lieux de l’Angleterre, mais en pleine jungle. Un moment très agréable.


Ensuite pique nique au beau milieu de la forêt dans une aire de pique nique qui s’appelle never never pique nique area (jamais, jamais aire de pique nique).

On a compris pourquoi, dix kilomètres de piste dans la foret pour arriver dans un endroit idyllique mais un peu frisquet. On n’était accompagné que d’une pie et d’une drôle de pintade des montagnes.

mercredi 14 décembre 2011

ambiance tropicale

Des champs de canne sucre à perte de vue. Il parait qu'il font un très bon rhum couleur sombre. On n'a pas gouté, enfin pas encore. Ils sont en ce moment en pleine récolte. Une moissonneuse coupait les cannes à sucre qui étaient broyées et rejettées dans une benne, puis versé dans une benne plus grande qui était chargée sur un camion. Ca change de certains récoltants de la Réunion qui coupaient la canne à la main pour garder toute sa saveur.

On a vu également des champs de manguiers avec des rangs si longs que les cueilleurs doivent désespérer arriver à la fin.
Un jour de soleil la température monte à 34 degrés, l'océan à 25° et nous on plonge dedans; Un sable si fin qu'il crisse sous nos pas, une eau turquoise et transparente et des vagues. On a acheté une petite planche de body surf, histoire de surfer un peu sur les vagues.

Le surf est vraiment une institution ici. On voit même des écoliers venir avec  leur école prendre des cours de surf.

Une autre institution sur les côtes australiennes: les life guards. Il parait que la plupart sont des volontaires. Beaucoup d'enfants sont inscrits dans un club de life guards où ils viennent s'entrainer le mercredi. Le week-end, des ados accompagnent les adultes pour surveiller les plages et attention, en matière de surveillance, ils ne plaisantent pas. Deux drapeaux sont plantés sur la plage et il faut se baigner entre les deux drapeaux. Sur la plage, il y a un écriteau disant "No flag, no swim" (pas de drapeau, pas de baignade).

dimanche 11 décembre 2011

Les torutes de bundaberg


On a eu beaucoup de chance dans cette météo perturbée. Une nuit de pleine lune avec très peu de nuages. On a pu assister à la ponte des tortues marines sur la plage de Bundaberg. On est allé dans un centre d’étude des tortues marines qui encadre les groupes de personnes désirant voir les torues. On a du attendre une heure et demi dans le centre. Ils ne veulent pas que les hordes de touristes bruyants envahissent la plage, sinon, les tortues ne montent pas sur la plage pour pondre. On est appelé seulement une fois que la tortue est montée et a commencé à creuser le trou où elle pondra. (Un trou de 60 centimètres de profondeur).  Très impressionnant de voir cette grosse maman de 70 ans creuser dans le sable avec ses pattes arrières et de voir tous ses efforts pour recouvrir et tasser le sable pour effacer les traces de son nid. Très instructif aussi car on était accompagné par des rangers qui les étudient.


On a eu la chance de voir une autre tortue émerger de la mer, monter péniblement  plusieurs dizaines de mètres sur la plage pour arriver à quelques mètres de notre groupe.  Là l’endroit lui a semblé un peu trop fréquenté pour ses œufs et elle a fait demi-tour.

Cyanne n’a plus qu’une envie : voir les petites tortues sortir du sable et aller vers l’océan, mais dans 6 semaines on ne sera plus là.

brisbane


Pour la crème solaire ; les chapeaux et les lunettes c’est rapé. On est à Brisbane et il pleut depuis deux jours. Depuis notre arrivée en Australie, on n’a eu que trois jours de grand beau temps. Il parait que cela fait 51 ans qu’ils n’ont pas eu un début d’été aussi pluvieux et aussi froid, et ça tombe sur nous ( et sur les Australiens aussi). En plus à Brisbane, comble de malchance, le musée du queensland et les ateliers aborigènes que l’on avait planifié de faire sont soit fermé pour rénovation soit absent à l’adresse indiquée. On a beau se pencher sur les cartes météo, il ne fait beau nulle part dans l’Est de l’Australie. On est un peu déçu.

Entre deux averses on se promène dans la ville. Un centre ville composé d’immeubles de verre, des rues marchandes

 et dans la périphérie de charmantes maisons en bois montée sur pilotis.

south west rock


On continue notre remontée vers le Nord. On change de paysage et on se retrouve dans la campagne anglaise avec de grandes prairies bien vertes où des vaches bien grasses paissent. De temps à autre dans notre campagne anglaise, des palmiers, des bananiers s’invitent pour nous rappeler que nous sommes en Australie.

Ca y est maintenant on a rencontré des kangourous. Installés sur le bord de la prairie, on a passé un moment à  regarder les mères avec leur bébé dans la poche, pendant qu’une famille australienne fêtait à quelques mètres de nous l’anniversaire d’un de leur enfant en étant complètement indifférente aux kangourous.

On en a vu également plusieurs sur le bord de la route, mais ceux là ne bougeaient plus.

Un autre animal que l’on a remarqué/

Un oiseau que l’on a vu pour la première fois dans les rues de Sydney. On a tout d’abord pensé qu’il s’était échappé d’un zoo, avant de s’apercevoir qu’il était assez fréquent d’en rencontrer, près des cours d’eau et plus particulièrement près des lieux d’alimentation des humains. Ils ont bien compris qu’il était plus facile de se nourrir en récupérant les reliefs des repas des humains que d’aller pêcher.

Arrêt dans une petite ville balnéaire. On nous avait dit que le soleil ici était dangereux Il est très dangereux. On est resté peu de temps sur la plage. Comme, il y avit au début beaucoup de nuages, on a oublié de se « crémer ». résultat, quatre visages fardés d’une jolie couleur rouge. Même Jeff. Dorénavant, c’est lunettes, chapeau et crème solaire puissance maximale.

Par contre, Lois et Jeff ont  eu la chance de voir un groupe de 4 dauphins qui nageaient tranquillement à quelques mètres d'eux alors qu'ils se baignaient. On en a encore les yeux écarquillés de surprise et de joie.
Région de Myall's lake au dessus de New castle cote est
Région magnifique de forêt d’eucalyptus et de lacs. Certains lacs sont si proches de la mer qu’ils n’en sont séparés que par une langue de sable comme le lac Smith. Il parait que régulièrement pour enlever le trop plein d’eau, ils creusent la bande de sable pour qu’elle se déverse dans l’océan, créant des vagues avec lesquelles des surfeurs de Sydney viennent jouer.
entre lac (à droite) et océan

D'autres lacs ont une surprenante couleur thé infusé. POur Lois et Cyanne c'était plutôt un lac de coca cola sans les bulles (On n'a pas les mêmes valeurs) Cela est du aux racines des arbres à thé qui plongent dans le lac. Il parait que c'est très bon pour la peau, mais la température de l'air et de l'eau ne nous ont pas incité à essayer.

On a trouvé un appartement dans une superbe maison au pied du lac Smiths pour une somme dérisoire. The Smith’s Lake House.

 Une excellente adresse pour tous ceux qui souhaiteraient venir dans cette partie de l’Australie.On est accueilli par les propriétaires adorables qui  nous prètent parasol, planches… pour la plage et des canoes pour faire des promenades sur le lac. On a partagé un agréable moment avec Bobby et Marzela autour d’un repas « français » et d’une bouteille australienne.
Petite promenade dans le bush, étendue de grands buissons où nous avons aperçu un lézard taille XXL traverser le sentier. IL parait qu’il y a dans ces fourrés nombreuses bestioles particulièrement venimeuses, des scorpions ou des serpents. On va essayer de les éviter ( à moins que ce ne soit eux qui essaient à tout prix de ne pas nous rencontrer. ) 

samedi 3 décembre 2011

En voiture!


Pour parcourir un tout petit bout de l’Australie, on a choisi l’option location de voiture.  Un petit temps de sueur pour bien appréhender la conduite à gauche. On s’emmêle un peu dans les commandes qui sont placées en sens inverse des voitures françaises, (on a beaucoup utilisé l’essuie glaces à la place du clignotant. Lois et Cyanne s’amusaient à  nous enlever des points sur notre permis à chaque fois que l’on se trompait.
Sur le chemin on a rencontré ce panneau que tous les touristes doivent prendre en photo. Nous aussi.

Pour le moment à part Lois qui a vu deux kangourous sur un terrain de golf, on les cherche toujours.




 On a également  vu ce panneau  et également des passerelles au-dessus des routes pour permettre aux koalas de gagner la foret d’eucalyptus que de dangereux bipèdes ont coupé en deux.







Par contre, on voit des vols de perruches partout. En ville, dans la campagne, sur le bord de mer. Des perruches bleues, rouges, jaunes. C’est magnifique.
Autre rencontre magique, celle avec un pélican. On s’est promené côte à côte, lui dans l’eau, nous sur terre en faisant bien attention de ne pas l’effrayer ; pendant dix minutes.

 On était ravi de cette rencontre pour nous extraordinaire jusqu’à  ce que deux minutes plus tard, on tombe sur un troupeau de pélicans qui se laissaient approcher à quelques centimètres. En fait les australiens doivent nous trouver puérils de prendre en photo ces animaux qui pour eux sont si « banals »…