mardi 24 janvier 2012

Quelques visages de Rarotonga





















Bon ca y est le périple est terminé.
Tout d'abord un grand merci à tous ceux qui nous ont accompagné via ce blog. Plus de 3500 visites!!
Et puis un grand merci à toutes les personnes que l'on a rencontrées au cours de ce voyage qui nous ont donné un sourire, un morceau de pamplemouse, une adresse etc...
Mais on va continuer. On va découvrir un  nouveau pays. Un pays où parait-il, les habitants se promènent avec un béret sur la tête et une baguette sous le bras. Il parait qu'ils sont râleurs et font toujours la grève, et en plus ils mangent des animaux vivants qu'ils gobent le soir de la Saint Sylvestre mais aussi des escargots et des cuisses de grenouilles. Beurk. On va aller voir ce qu'il y a derrière ces préjugés. Peut-être qu'ils sont pas si mals que ça après tout...

On essaiera si on a le temps, de mettre quelques autres photos.
Et si on a vraiment du temps, du courage on pourra essayer de faire un diaporama pour les personnes qui le désirent (évidemment). Vous pourrez choisir entre le diaporama light 1 minute (6 photos, une par pays visités), le diaporama médium (1 heure, les "meilleures") ou le maxi diaporama 10 heures (toutes les photos les bonnes, les moins bonnes, les carrément ratées). A vous de choisir.

jeudi 19 janvier 2012

Rarotonga

On n’avait pas prévu dans notre premier projet de passer par Rarotonga.  Mais on a eu à choisir entre quatre heures d’avion pour retourner à Sydney en Australie puis Los Angeles ou faire un stop à Rarotonga avant Los Angeles. Ne connaissant pas la Polynésie, et ne prévoyant pas de revenir de l’autre coté du monde avant un certain nombre d’années, on a choisi la deuxième solution ; et on ne regrette pas.

Tout d’abord, on a vécu une expérience particulière. On a vécu deux fois le dimanche 15 janvier. On est parti de NZ le dimanche 15 janvier à 17heures et on est arrivé à Rarotonga le samedi 14 janvier à 22heures. On a remonté le temps.  En fait on a franchi la ligne de changement de date.  En  NZ quand on finissait un jour, vous vous le commenciez, alors qu’ici quand vous finissez un jour, nous on le commence. C’est clair ?

Ensuite, on a oublié les pulls, les blousons, les pantalons… en tout cas pour 7 jours, parce qu’après. ..

Bon, on vous fait rêver encore un peu ?
Une plage de sable fin qui s’étend à perte de vue, bordée de cocotiers et de filacao. On peut étaler sa serviette où l’on veut,  car il n’y a presque personne pour ne pas dire personne sur la plage. Un petit vent pour bercer les siestes.

  Une eau turquoise et transparente  à 27 /28 degrés dans un lagon, avec pour toile de fond l’océan Pacifique qui se brise un peu plus loin sur la barrière de corail et trois motu (petites iles) : le rêve.  Un peu de snorkelling (et oui, j’ai amélioré mon niveau d’anglais) masque et tuba au milieu de poissons de toutes les couleurs, de coraux, d’éponges, d’étoiles de mer.

Bon, pour éviter que vous ne nous détestiez trop, on va quand même mentionner les cotés moins agréables.  Par exemple les concombres de mer  qui ont l’air d’apprécier les bords de plage. Pas dangereux mais marcher pieds nus sur une grosse limace,  beurk, Cyanne pourra vous en parler

Ensuite, il y a les moustiques, qui ont une prédilection pour les plantes des pieds. On ne peut pas sortir à la tombée de la nuit sans sentir la citronelle.

Cueillette des noix de coco.


Après la récolte, ils nous ont proposé de nous donner le jus contenu dans la noix de coco. Un régal… enfin pour moi car pour Lois, Cyanne et Jeff ça été plutôt une grimace. Puis séance d’art plastique sur les noix de coco












auckland

Arrivée à Auckland LA grande ville de Nouvelle Zélande où quasiment la moitié des néo-zélandais habitent. (1,5 millions pour 4 millions d’habitants) Après plusieurs jours passés dans des très petites villes ou dans des endroits  dépourvus d’habitations, on retrouve en grimaçant un peu, les embouteillages de voitures et de gens
  ( bon évidemment, rien à voir avec les embouteillages parisiens)

On rencontre un copain d’un copain qui est venu habiter et se marier en Nouvelle Zélande. Moment sympathique à la terrasse d’un café avec Jean et sa femme, où on partage nos sensations sur la NZ. Selon son expérience la vie en Nouvelle Zélande est beaucoup moins stressante qu’en France.
quelques canapés posés sur la pelouse et voilà un coin sympathique où prendre un café

ine d'or à Thames

 En route pour Auckland , on s’est arrêté à Thames. On a visité une ancienne mine d’or.  Tout le sous sol de cette région a été exploré à la fin du 19 ème siècle, et est parsemé de galeries plus ou moins profondes, qui sont à présent abandonnées ou comme ici reconverties en musée.

 On a bien regardé partout, on a même tamisé du sable mais on n’a rien trouvé. On ne va pas pouvoir continuer notre périple pendant six mois supplémentaires.

La nouvelle Zélande est le pays du palmier fougère. Un arbre étonnant qui semble tout droit sorti de la préhistoire. La feuille qui se déplie est un des emblèmes de la nouvelle zélande.

mercredi 18 janvier 2012

péninsule de coromandel


Coromandel Péninsule de magnifiques paysages









et quelques rencontres parfois insolites…


vendredi 13 janvier 2012

hot water beach


Non , on n’est pas sur une plage de la cote d’Azur en plein mois d’Aout mais sur une des plages de Nouvelle Zélande. La hot water beach. (la plage d'eau chaude). D'habitude, on a toute la place pour poser sa serviette, mais pas là. 2 kilomètres en dessous de la plage, du magma à 170 °réchauffe une nappe d’eau qui remonte par des fissures jusqu’à la plage. Deux heures avant la marée basse, des hordes de gens armées de pelles creusent des trous sur la plage  sur une largeur de 20 mètres pour se faire une baignoire thermale gratuite. L’eau thermale à 66 degrés se mélange à l’eau de l’océan et après l'effort ,











 .


le réconfort, une pause dans une baignoire de sable remplie d'eau chaude.







Il faut évidement arriver très tôt pour avoir les meilleures places ou tout simplement quelques centimètres carrés pour creuser son trou et ne pas craindre le bruit et la foule.
 On ne vous étonnera pas en vous disant qu'après quelques minutes à se brûler les plantes des pieds dans l'eau, à regarder l'acharnement de certaines personnes à essayer de monter une digue pour protèger leur trou des assaults de l'océan, on est allé s'installer tranquillement à quelques mètres.
Et bien sur, les life guards toujours impressionants de concentration sur les baigneurs qui tous obéissent à la consigne de se baigner entre les deux drapeaux.

mercredi 11 janvier 2012

rotorua maoris


Autre attraction touristique de Rotorua, les maoris.

 Les Maoris, sont les premiers habitants de la Nouvelle Zélande qu’ils ont appelé Aotearoa (ile au grand nuage blanc). Ils sont arrivés il y a environ 1000 ans, on ne sait pas vraiment d’où et pourquoi, ils ont quitté leur territoire pour venir en NZ.
Il y a les Maoris pour les touristes avec démonstration de tissage, de sculptures sur bois,



















de danse et de chants.





Et puis il y a les Maoris de tous les jours… un peu plus authentiques.

La ville de Rotorua,  même si 35% de sa population est Maori, reste très anglaise avec ses maisons,

 ses pelouses impeccablement tondue et ses joueuses de crocket.



Autour de Rotorua, il y a de très nombreux lacs, où la vie semble très agréable.

Pêche sur canoë,


un petit café vespéral sur le bord d’un ponton

rotorua 1


Une odeur de souffre. On n’est pas en enfer mais à Rotorua, ville où tout touriste digne de ce nom s’arrête en Nouvelle Zélande. L’odeur de souffre est due à l’activité thermale. Partout en ville et aux alentours, des fumerolles s’élèvent embaumant l’air et signalant la présence d’une résurgence d’eau plus ou moins chaude. Certaines atteignent même la température agréable de 220 degrés. Les Maoris (premiers peuples habitant la nouvelle Zélande) les utilisaient pour cuire leur nourriture.

On voit également des trous de boue faisant blup, blup, blup , boue qui est utilisée pour ses vertus curatives

 et même des geysers.

Toute cette activité bouillonnante juste sous nos pieds, ca fait froid dans le dos.
On a vu dans un musée, une image de piscines d’eau chaude descendant en cascade le long d’une montagne. On a tout de suite voulu aller voir cette merveille de la nature. On n’a pas pu. On était en retard …de 120 ans. Une terrible explosion volcanique (4 cratères tout de même) associée à l’activité thermale sous terraine a fait littéralement explosé ce paysage. Dommage.

Nous sommes désolés pour le retard dans le blog, mais curieusement en Nouvelle Zélande comme en Australie, le réseau téléphone portable et wifi n’est pas énormément développé en dehors des villes. Du coup, on n’arrive pas toujours à se connecter et à vous donner de nos nouvelles, mais on ne vous oublie pas…

On passe de dépression en dépression. Pas nous, mais la météo. Entre deux jours de pluie, on profite de quelques rayons de soleil. Il parait que c’est l’été. Bon on exagère, les températures sont très agréables malgré la pluie, et même si on ne le fait jamais en France, on mange des fraises, des cerises, des pêches en plein mois de janvier… et bien sur des kiwis.

Arrivée à Napier sur la coté est de l’ile du Nord. Elle est réputée pour son architecture art déco. La ville a été quasiment entièrement détruite par un tremblement de terre en 1930. Ils l’ont donc reconstruite selon les critères architecturaux de l’époque. On s’est promené dans les rues, mais étant donné notre   niveau quasiment nul en architecture art déco, on n’a pas été très impressionné. On a bien entendu vu « les » bâtiments référencés par notre guide et pour ceux qui sont plus branchés art déco que nous voici quelques photos. Pour se consoler, on s’est rabattu sur un « cheese cake » (gâteau au fromage typiquement britannique)

dimanche 1 janvier 2012

bonne année

On souhaite à tous ceux qui nous ont accompagné tout au long de notre voyage par l'intermédiaire de ce blog, une excellente année 2012. Que cette année vous apporte quelques grands bonheurs à partager ( si c'est avec nous, tant mieux) et une multitude de petites joies quotidiennes à savourer.
La famille en vadrouille.